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Retrouver un lointain cousin au musée Dini

Danièle Godard-Livet

C'est Norbert qui a repéré au Musée Dini ce Théodore Lévigne, né à Noirétable en 1848. C’est à l’âge de 10 ans qu’il toucha du doigt sa vocation, à l’occasion d’une visite au musée Saint-Pierre. Il intégra l’école des Beaux-arts de 1860 à 1862. Il se fit remarquer lors de l’exposition annuelle organisée par la Société des Amis des Arts du Palais Saint-Pierre (en 1863). A Paris, il fut l’élève de Gérôme, et de Cabanel. Il peignit des paysages, des tableaux de neige, des portraits, des scènes de genre et des toiles décoratives.

Deux portaits peints par lui son exposés au musée Dini, une vogue à la croix rousse dans un autre musée, mais il semble aussi s'être laissé aller à une grande prolificité pas toujours remarquable; cependant il a toujours une côte chez les marchands d'art.

Et c'est un lointain cousin, fils d'un bottier et d'une cuisinière qui de Noirétable était partis à Roanne puis à Lyon. Pour trouver nos ancêtres communs il faut remonter à la 7eme génération.

Les grands parents de Théodore Lévigne, Jean Baptiste Lévigne et Anna Bournier Guyonnet, pauvres gens morts très jeunes, ont eu trois enfants dont un seul est resté à Vollore Montagne, comme tailleur d'habits. Leurs petits enfants toujours à Vollore montagne étaient tailleurs d'habits, boulanger et instituteur et la petite fille de l'instituteur, ma "tante" Colette....qui n'était pas vraiment une tante comme vous l'avez compris, mais qui passait ses vacances à la Chevalerie comme moi.


 

 


 

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