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Danièle Godard-Livet

Théo Lemattre, Azel Bury et Gina Dimitri des vedettes de l'auto-édition parmi d'autres


Je lis de tout, des livres que j'achète, des livres que j'emprunte à la bibliothèque, des livres que m'envoie une maison d'édition pour que je les chronique (ou pas), des livres papier ou des e-books. Je mets mes textes sur plusieurs sites d'écriture en ligne (ateliers d'écriture ou sites de publication) . On croise parfois les mêmes personnes dans les ateliers, sur KDP d'Amazon comme sur short-edition ou Wattpad (et bien sûr sur instagram, facebook et youtube).

Certains arrivent à se faire repérer par un "vrai" éditeur (comme Theo Lemattre dont je n'aime pas vraiment le xème roman qui vient de m'être adressé par les éditions Ramsay), d'autres disparaissent des écrans après avoir écrit des choses plutôt meilleures que la moyenne (comme Azel Bury avec "la femme qui tua Stephen King"); certains disent en vivre alors que d'autres se retrouvent interdits de publication sur KDP, ou n'arrivent pas à lancer leur promotion d'e-book à 0 euro. Certains sont chroniqués par les instagrameuses et autres booktubeurs passionnés de lecture, d'autres se chroniquent ou se commentent entre eux.

J'aime cette effervescence autour des mots et des histoires, de l'écriture et de la littérature, un hobby comme un autre, comme la musique, la vidéo ou la photo auquel internet donne de la visibilité et des occasions de partage..

Cela fait-il de la bonne littérature ? Je suis souvent critique sur ce qui en sort, mais pas plus qu'en photo, vidéo ou musique et la chance semble sourire à ceux qui y consacre la totalité de leur énergie commerciale plus que littéraire. Qu'importe ! C'est en écrivant que l'on devient écrivain. Adonnez-vous sans limite à ce passe-temps non violent et peu coûteux qui permet de suivre sans filtre ce qu'il y a dans la tête des gens. Les politiques devraient se pencher un peu plus sur ce qui s'écrit.

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