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  • Danièle Godard-Livet

Routes, chemins, sentiers, raconter le temps qui passe


J'aime allier les photos et les textes. Parfois peu de mots suffisent, d'autres fois on a plus de choses à dire. Ainsi mon dernier petit livre de photos, intitulé "Routes" contient plus de texte que les autres. Vous pouvez le feuilleter ici

Routes, éloge de la mobilité

Quelle fascination les routes exercent-elles sur nous au point que nous acceptions qu'elles détruisent parfois nos paysages ?

Elles permettent bien sûr d'aller un point à un autre, de transporter, de commercer, d'échanger, de se rencontrer et c'est leur justification première.

Mais prendre la route pour aller voir ce qu'il y a plus loin au-delà de l'horizon est une passion partagée par bien des nomades que nous sommes restés ou redevenus.

Leurs tracés sont parfois admirables comme les lointains qu'elles nous découvrent ; parfois répétitifs et sans intérêt, ou vus si vite qu'il ne nous en reste d'une impression fugitive.

Elles sont parfois très laides et dangereuses. Et pourtant qui n'a jamais succombé à la poésie d 'une station service dans la nuit. Elles bousculent les monuments qu'on n'a pas pu déplacer et éventrent les coeurs de villes.

Mais elles sont aussi petites et paisibles pas plus grandes que des chemins de campagne.

Mais toutes participent de notre besoin de bouger.

Partir, découvrir un ailleurs, fuir l'immobilité, changer d'horizon voilà ce qu'elles nous offrent.

D'autres sont moins bavards (vous pouvez les feuilleter en cliquant sur les liens) :

Notman et moi ou la découverte d'un photographe montréalais du XiXeme siècle à Montréal en novembre 2016

En Bresse, le récit d'un week-end autour de Louhans en octobre 2016

Arles sensible, le récit d'un stage de photographie aux rencontres d'Arles en septembre 2016

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